Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC)

Depuis plus d'une décennie, la communauté scientifique réfléchit à des solutions pour refroidir la planète. Réduction des gaz à effet de serre, utilisation de la géo-ingénierie? Valérie Masson-Delmotte, paléoclimatologue au Laboratoire des sciences du climat et de l'environnement, répond à Aurélien.

Très investie dans la recherche fondamentale en sciences du climat et le partage des savoirs, Valérie Masson-Delmotte revient sur son parcours au sein du GIEC et insiste sur l'importance de porter la connaissance scientifique auprès de la société dans le cadre de la lutte pour le climat…

Les cartes météo se colorent de rouge en Inde : 47°C à New Delhi lundi, canicule à Bombay... La chaleur persistante complique les élections générales qui durent jusqu'en juin. Le risque thermique s'accompagne d'inégalités sociales avec les ménages pauvres, travailleurs en extérieur plus vulnérables.

A l’approche des élections européennes, Une semaine en Europe tend son micro aux grands défis qui attendent l'Union européenne. Pour ce premier vendredi, rendez-vous avec François Gémenne, professeur à HEC et membre du GIEC pour parler de l’enjeu de la crise climatique cœur de la campagne.

En Islande, une stratégie prometteuse est testée pour capturer le CO2 de l'atmosphère : le stockage dans le sous-sol basaltique. Une possible solution pour lutter contre le changement climatique dont l'efficacité à grande échelle reste néanmoins limitée.

Récemment, le gouvernement a dévoilé son plan Ecophyto 2030 et le projet de loi d'orientation agricole. Mais ces politiques sont contestées par des scientifiques qui soulignent le manque d'actions fortes pour la transition écologique. La science a-t-elle une place dans l'élaboration des lois ?

La ville de Marseille fait partie du programme européen “100 villes neutres en carbone d’ici 2030”. Un objectif ambitieux pour limiter les effets du dérèglement climatique. Des effets qui accentuent les inégalités entre classes populaires et classes aisées. Reportage.

Comment penser l'adaptation au changement climatique en fonction des différents scénarios climatiques et dans un monde profondément transformé par les chocs présents et à venir ?

L'écologie aurait dû être un thème majeur de la campagne, comme en 2019. Pour l'instant, elle ne l'est pas. Pourquoi ?

C'est le constat alarmant du programme Copernicus. L'année dernière, le nombre de pic de chaleur a atteint un record.

L'affaire est exceptionnelle par son ampleur. La Cour européenne des droits de l'homme (CEDH) doit rendre ce mardi matin sa décision sur trois affaires climatiques, les détails dans cette édition.

Contrairement à ce qu'a affirmé l'hydrologue Emma Haziza sur l'antenne de France Inter, jeudi 21 mars, la France n'est pas le pays qui se réchauffe le plus vite dans le monde. En revanche, son réchauffement est bien plus rapide que la moyenne.

La Cour des comptes consacre son rapport annuel à l’adaptation de la France au changement climatique à travers 16 politiques. Les Français, eux, privilégient un outil : la climatisation.

Les hôpitaux menacés de grève pendant les JO, le mois de février le + chaud jamais enregistré au monde, Spotify augmente les tarifs de ses abonnements, le hip-hop à l'assemblée nationale, la journée internationale des droits des femmes. Recap actu du 7 mars 2024.

Une étude présentée ce mardi au salon de l'agriculture met une nouvelle fois en avant les risques auxquels sera exposée l'agriculture dans les prochaines années. Avec le bouleversement climatique, certaines cultures vont remonter plus au nord.

Le climato-rassurisme, c'est cette tendance à minimiser les conséquences du réchauffement climatique. On ne nie plus le problème, mais on le minimise, en pensant qu’il se résoudra par exemple par l’innovation technique.

Les agriculteurs étaient cœur des préoccupations de Gabriel Attal lors de sa visite dans le Rhône ce samedi après-midi. Le Premier ministre a évoqué certaines problématiques du milieu agricole, qui, depuis trois jours crie sa colère.

L’année 2023 est de loin l’année la plus chaude jamais enregistrée. À tel point qu'on doit ajouter des nuances à la palette de couleurs des "climate stripes", le graphique emblématique qui permet de visualiser l’évolution du réchauffement en un coup d’œil.

Avec le retour du froid, les réseaux sociaux regorgent de publications réfutant le réchauffement climatique. Faut-il vraiment dépenser son temps et son énergie à répondre aux climato-sceptiques ?

C’est officiel, 2023 est bien l’année la plus chaude jamais enregistrée sur Terre. Avec 14,98° de température moyenne, elle pourrait même être l’année la plus chaude depuis 100.000 ans. 2024 pourrait être pire.