Cinéma international

Rithy Panh, réalisateur, producteur, scénariste, monteur et écrivain franco-cambodgien est l'invité du 7h50 pour son film "Rendez-vous avec Pol Pot" en salles le 5 juin. Depuis 30 ans, il raconte la folie meurtrière du régime Khmers Rouge dans les années 70.

Un Plan Large en direct et en public du Centre Pompidou, avec les critiques, historiens et enseignants du cinéma Laurent Aknin, Hervé Aubron et Hélène Valmary, et aussi Sandra Onana, à l'occasion de la phénoménale invasion des lieux par la bande dessinée, à tous les étages.

A la découverte d'une partition d'Isaac Albeniz reprise sous la forme de chansons, dans des publicités, et même dans Anatomie d'une chute de Justine Triet. Une pièce de la fin du 19e siècle qui évoque moins les Asturies que l'Andalousie et qui cartonne sur Tik Tok grâce à une chanson d'Elley Duhé !

Après été condamné par le régime iranien à cinq ans de prison, Mohammad Rasoulof a annoncé le 13 mai avoir quitté son pays. Désormais en exil, le cinéaste iranien sera à Cannes pour présenter, en personne, la dernière oeuvre d'une filmographie, engagée, critique du pouvoir

Le cinéaste, qui a fui l'Iran après y avoir été condamné à huit ans de prison, sera à Cannes vendredi pour défendre son film "Les graines du figuier sauvage". Il a accepté de répondre en exclusivité aux questions de France Inter, et souligne l'importance qu'a pour lui le soutien de la profession.

Deuxième émission d’une semaine consacrée au Festival de Cannes. Ce soir, David Cronenberg pour son film "Les Linceuls", suivi de Laetitia Dosch et son premier long-métrage "Le Procès du chien", avant de terminer avec Rithy Panh qui signe son retour à la fiction avec "Rendez-vous avec Pol Pot".

Née dans les années 90 à Lagos, l’industrie du cinéma nigérian "Nollywood" a longtemps été cantonnée aux films de série Z. Trente ans plus tard, Nollywood, devenu le deuxième producteur de films au monde, connait un succès phénoménal en Afrique, en Europe ou aux États-Unis.

Aujourd'hui sort au cinéma le premier-long métrage de la cinéaste franco-américaine Yasmine Benkiran, le récit bien troussé d'une cavale, celle de deux femmes et une petite fille en fuite dans l'Atlas.

Depuis la révolution islamique de 1979, le cinéma iranien est fortement encadré par le régime. Pourtant, cette nation passionnée depuis toujours par le cinéma, continue de faire vivre cette industrie malgré les interdits et la censure. Quelle est l’importance du cinéma pour les Iraniens ?

Né à Rome dans une famille modeste, Ennio Morricone a réinventé la musique mondiale. Sous ses airs austères, le compositeur a dynamité de l’intérieur chansons et films grâce à sa science instrumentale et mélodique.

Golshifteh Farahani est devenue une icône malgré elle, symbole de la lutte des femmes iraniennes. Après avoir dû fuir son pays, la comédienne alterne les blockbusters américains et les films d’auteurs, passant de Ridley Scott à Saïd Belktibia, dont elle est l’héroïne du premier film, “Roqya”.

La comédienne et chanteuse Golshifteh Farahani, est née en Iran et tourne avec des cinéastes du monde entier. C’est l’histoire d’une femme dont la vie a été coupée en deux et qui n’a jamais perdu de vue la gosse qu’elle fut. Elle est à l'affiche du film "Roqya" de Saïd Belktibia.

Au menu de ce débat cinéma, du sport et du BDSM, avec deux premiers longs-métrages, d'un côté "L'Esprit Coubertin" de Jérémie Sein, de l'autre "La Vie selon Ann" de Joanna Arnow.

De l'aliénation de l'hôpital public avec "État limite" de Nicolas Peduzzi aux rescapés japonais de la Seconde Guerre mondiale dans "L'Ombre du feu" de Shin'ya Tsukamoto, on se penche aujourd'hui sur deux films traitant la souffrance, le traumatisme et les manières d'y faire face.

Nous recevons ce samedi les cinéastes Dani Rosenberg, pour "Le Déserteur", Henri-François Imbert pour son dernier documentaire "Le temps du voyage", Steve McQueen pour "Occupied City", et encore Sandra Onana.

Peu de réalisateurs déchaînent autant les passions que Zack Snyder. A l’occasion de la sortie de son dernier film, Rebel Moon 2, on lance le débat !

Ce matin Max Dozolme nous parle d’un film qui a marqué l’histoire du cinéma et de la musique puisqu’il s’agit d’Alexandre Nevski (1938) de Sergueï Eisenstein sur une musique prodigieuse de Sergueï Prokofiev.

Ils renouvellent la manière de parler de la Shoah au cinéma : le cinéaste Steve McQueen et l'historienne et réalisatrice Bianca Stigter reviennent sur le passé d'Amsterdam sous l'occupation nazie en donnant à voir des images contemporaines de la ville.

Le mercredi, c'est cinéma ! Entre expérience survivaliste avec "Knit's Island, l'île sans fin" d'Ekiem BArbien, Guilhem Causse et Quentin L'helgouach et promesse de guerre civile avec "Civil War" d'Alex Garland, quel chemin post-apocalyptique choisir ? Nos critiques vous aiguillent !