L'édito culture

Le réalisateur David Teboul a réuni les quatre dernières survivantes d'Auschwitz en France.

Quand j’étais minot, je me régalais avec les aventures de Langelot, une série de romans d’espionnage publiés dans La Bibliothèque verte, et rédigés par un mystérieux Lieutenant X

Sortant de quinze jours de films cannois non stop venus du monde entier, j’ai fini par être frappé par un phénomène trop récurrent pour être le seul fruit du hasard.

Toute occasion est bonne pour parler de James Baldwin. Aujourd’hui, je saisis donc le prétexte du centième anniversaire de sa naissance, en 1924 à New York, pour évoquer l’auteur américain, noir, homosexuel et militant des droits civiques aux côtés de Martin Luther King ou Malcolm X.

Les fans voient se rapprocher ce fatidique 25 mai où ils se souviendront de ce qu’ils faisaient l’année dernière lorsqu’ils apprirent la mort de Jean-Louis Murat.

Laurent Delmas souffre d’un mal étrange depuis le début du Festival de Cannes…

Je vais vous parler d’un livre écrit par une éminente Académicienne - c’est aussi ce que nous offre Chantal Thomas tout au long des 177 pages de son “Journal d’Arizona et du Mexique”, qui vient de paraître au Seuil.

"Le Monde" a réuni 150 personnes dans un studio pour une photo Metoo français.

Arnaud Viviant nous parle de « l’esprit indie » des années 90 après la mort, mercredi dernier, du musicien américain Steve Albini, et la sortie, le même jour, du premier long-métrage de Joanna Arnow, « La vie selon Ann ».

C’est entendu, tous les festivaliers cinéphiles, et ce n’est pas un pléonasme, attendent les nouveaux films de Coppola, Audiard, Cronenberg, Hazanavicius, entre autres.

S’il vivait aujourd’hui, Marcel Proust choisirait-il le rap plutôt que la littérature ?

"Elle était là, elle est toujours là. On la sent, peu à peu, remonter en surface. La France moisie est de retour." C'est le début du texte de Solers, paru dans Le Monde en 1999.

Arnaud Viviant nous parle du tricot sous sa forme culturelle.

C'est d'abord la République des Lettres qui pleure Bernard Pivot depuis hier - elle a perdu un formidable passeur de littérature. Mais on aurait tort d'oublier que le gratin du cinéma français et international est lui aussi passé sur les plateaux d'"Apostrophes" et "Bouillon de Culture".

Elisabeth Philippe a choisi de faire l’éloge de la bêtise... Avec "Ducky Coco”, un mélange de Lucky Luke et de Don Quichotte, dessiné par un enfant de six ans qui aurait lu Beckett et Ionesco !

Christine Angot nous parle de Monique Wittig et d'Édouard Louis.

Le pilote automobile n'a pas survécu à l'accident de sa voiture sur le circuit d'Imola en Italie.

La chanteuse, diseuse mais également actrice, scénariste et productrice de radio Marianne Oswald, est née Alice Bloch à Sarreguemines en 1901, morte à Limeil-Brévannes en 1985.

Vous l’avez sans doute remarqué - sinon je m’inquiète un peu pour votre sens de l’observation - on célèbre cette année les 150 ans de l’impressionnisme.

Christine Angot revient sur l'affaire du salut nazi adressé par le maire de Villeneuve-Saint-Georges à l'un de ses opposants.