Le Regard culturel

La série de Netflix, qui fait mine de subvertir le roman à l'eau de rose, et un excellent lieu pour tester la manière dont nos représentations quant à la chose amoureuse ont évolué... ou pas.

L'écrivain anglais Geoff Dyer signe un livre sur la fin : retraite des sportifs, œuvres ultimes des artistes, petits maux de la vieillesse : un livre riche, malicieux, plein de vitalité.

Yolande Zauberman signe un film trouble, une enquête comme manquée d'avance sur une jeune femme trans à Tel Aviv qui serait venue à pied depuis Gaza. Un film qui résonne avec une forme d'ironie tragique dans le contexte actuel.

Le dernier film de Michel Franco travaille avec une finesse inattendue en contexte naturaliste la rencontre de deux personnages d'une fragilité extrême, interprétés avec brio par Jessica Chastain et Peter Sarsgaard.

Le dernier film de Georges Miller, qui poursuit sa deuxième saga autour du personnage de Furiosa, est moins linéaire que le précédent, plus imparfait sans doute, mais c'est là que réside sa grande beauté.

En raison d’un appel à la grève, nous ne sommes pas en mesure de diffuser l’intégralité de nos contenus habituels. Nous vous prions de nous en excuser.

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À Cannes cette année, trois long métrages sont co-produits par la marque de luxe Saint Laurent. Petite réflexion sur les manières différentes qu'ont le cinéma et la publicité de se toucher et parfois se confondre.

Le grand maître du best-seller a déclaré que "La Cité des cendres" était son dernier roman, un concentré d'intrigues et de mythes typiquement américains.

Le dernier livre de Christophe Hanna, étrange ouvrage à protocole, tisse un réseau arbitraire et affectif selon le principe de : qui connais-tu de célèbre ?

La série cosignée et en partie réalisée par le coréen Park Chan-Wook parvient en partie à créer du neuf quant aux représentations de la guerre du Vietnam, en se choisissant une forme totalement baroque.

Le film de Quentin Dupieux, qui a ouvert le Festival de Cannes, est un jeu de mises en abymes qui réfléchit sans penser les questions agitant en ce moment le milieu du cinéma.

Aujourd'hui sort au cinéma le premier-long métrage de la cinéaste franco-américaine Yasmine Benkiran, le récit bien troussé d'une cavale, celle de deux femmes et une petite fille en fuite dans l'Atlas.

Alors qu'ouvre aujourd'hui le Festival de Cannes, petite réflexion sur cette comédie populaire sortie il y a quelques jours, succès immense au box office, et qui sera projetée sur la Croisette.

L'Irlandaise Nicole Flattery signe un livre dont l'héroïne est une jeune fille en marge dans le New York des années soixante, où elle trouve un emploi de dactylo dans un célèbre atelier d'artistes. Un grand livre qui se pose à côté de mythologies américaines, et les éclaire singulièrement.

La cinéaste new-yorkaise Joanna Arnow livre un premier long-métrage saisissant, qui découpe la vie d'une trentenaire désabusée en vignettes burlesques et cruelles.

Alors que l'écrivain fait paraître "Monique s'évade" au Seuil, un récit centré sur l'émancipation maternelle, petite réflexion sur ce que devient ce champion des transfuges de classe à la lumière d'un récit ancien, celui de l'Anglais Richard Hoggart.

Ce nouvel opus qui sort aujourd'hui en salles, signe l'échec de la franchise à créer vraiment des images neuves à partir de cette fable philosophique dont la dynamique semble s'épuiser film après film.

Demain sortira en salles le dernier film que Jean-Luc Godard ait entièrement approuvé avant son décès, "Film annonce du film qui n'existerai jamais - Drôles de guerres", un essai cinématographique d'une vingtaine de minutes.

Le succès que connaît en librairie ce roman de Michael McDowell, publié d'abord en 1980, reparu sous une belle couverture et nouvellement traduit, étonne en ce que ses ressorts paraissent archaïques et datés.