La question de David Castello-Lopes

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Avant, j’étais tellement mince qu’on voyait un peu mes muscles. Et donc il suffisait que j’évite de fréquenter des gens vraiment musclés pour qu’on pense que j’étais un musclé moi même. Et puis, à l’âge de 30 ans, j’ai essayé un pantalon à ma taille habituelle dans un magasin.

Le pourboire, c’est l’une des choses les plus économiquement cheloues sur la terre...

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La semaine dernière à l’occasion du cinquantième anniversaire de la révolution des œillets, David Castello-Lopes nous parlait de la dictature portugaise. Il continue cette semaine avec une anecdote personnelle inédite, qui fait intervenir Alain Delon...

Depuis que je suis enfant je vois bien que mon pays, le Portugal, est une nation européenne secondaire.

David Castello-Lopes a découvert le sens caché de la comptine...

Bon au départ corrompre, ça veut dire en gros, rendre quelque-chose moins bien en l’altérant. Alors c’est assez vieillot de l’utiliser comme ça. Mais moi j’adore.

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L’idée d’être décédé m’est très désagréable. Sérieux ce gouffre sans fond là, tout noir, qui dure l’éternité, c’est relou. Mais j’ai beau ne pas aimer la mort, je sais aussi qu’il y a des gens que ma mort réjouira.

Bon, je l’ai déjà dit plein de fois dans mes chroniques. Je parle super bien anglais. Non seulement j’ai un accent parfait. Mais j’ai aussi un vocabulaire incroyable. Mais une des conséquences de ça, c’est que je remarque immédiatement les anglicismes quand ils font leur apparition en français.

David a eu un chien enfant, et il lui faisait manger tout un tas de choses pas forcément ragoûtantes. Récemment, il a appris que dans certains pays, on donnait du cannabis aux animaux pour les soigner. Bonne ou mauvaise idée ?

Alors depuis dix ans que je fais des reportages, des sujets, des chroniques avec des blagues et des informations dedans, j’ai souvent parlé d’alcool, et j’ai souvent fait des blagues dessus.

C’est fou quand même comme je me complique la vie. Parce que mon travail, c’est quand même un peu de faire des blagues. Mais au lieu de prendre des sujets légers comme Tik Tok ou le salon de la viande. Je choisis des questions comme « Les traumatismes sont-ils héréditaires ? »

Alors vous allez peut-être vous dire que deux chroniques sur les reins coup sur coup c’est trop. Mais je vous assure que, au contraire, c’est pas assez. J’ai découvert tellement de choses intéressantes sur les reins, que j’ai même hésité à ne plus parler que de ça, jusqu’à la fin de la saison.

J’aimerais profiter de cette tribune pour rendre hommage aux reins. Nos reins, les miens mais aussi les vôtres et ceux de la plupart de nos auditeurs à l’exception de la petite frange d’entre eux qui écoutent le 7-10 sous dialyse, nos reins font un travail formidable.

En juillet 1985, j’avais trois ans. J’étais en vacances en Ecosse avec mes parents. Et un jour on s’est arrêté sur le bord de la route et on a vu arriver une personne qui était pour moi d’un type complètement nouveau. C’était un monsieur avec une jupe.

Quelques fois je me dis que j’aimerais bien être quelqu’un de nul. Parce que quand on est nul, c’est beaucoup plus facile de devenir meilleur que quand on est déjà super.

David Castello-Lopes nous explique comment se calcule la valeur d'une vie.

David Castello-Lopes redoute que l'intelligence artificielle ne rende son polyglotisme superflu...