%22%20xlink%3Ahref%3D%22data%3Aimage%2Fjpeg%3Bcharset%3Dutf-8%3Bbase64%2C%2F9j%2F2wBDACgcHiMeGSgjISMtKygwPGRBPDc3PHtYXUlkkYCZlo%2BAjIqgtObDoKrarYqMyP%2FL2u71%2F%2F%2F%2Fm8H%2F%2F%2F%2F6%2F%2Bb9%2F%2Fj%2F2wBDASstLTw1PHZBQXb4pYyl%2BPj4%2BPj4%2BPj4%2BPj4%2BPj4%2BPj4%2BPj4%2BPj4%2BPj4%2BPj4%2BPj4%2BPj4%2BPj4%2BPj4%2BPj4%2BPj4%2BPj%2FwAARCAAXACoDASIAAhEBAxEB%2F8QAGAABAQEBAQAAAAAAAAAAAAAAAgABAwX%2FxAAWEAEBAQAAAAAAAAAAAAAAAAAAARH%2FxAAWAQEBAQAAAAAAAAAAAAAAAAAAAQL%2FxAAUEQEAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA%2F9oADAMBAAIRAxEAPwDyZCxshYAYyw7BqgJtYI6yGkNDQqQg1iQP%2F9k%3D%22%20%2F%3E%3C%2Fsvg%3E)
En exclusivité ce matin, un titre inédit de Bashung "On n’a pas l’air" signé Boris Bergman et Bashung. À découvrir à l’occasion du 15ème anniversaire de sa disparition et de la sortie en vinyle d’une nouvelle anthologie Alain Bashung – "L’album de sa vie" en écoute dans Musicaline.
À l’occasion des 15 ans de la disparition d’Alain Bashung, une nouvelle anthologie sort le 8 mars, avec un titre inédit à découvrir en exclusivité dans Musicaline (et qui sort le 1er mars).
La grande surprise de cette nouvelle anthologie, c’est un morceau inédit, "On n’a pas l’air", écrit en 1981, exhumé et mixé quarante ans plus tard par Mitch Olivier, l’ingénieur du son des sessions de l’époque. Avant d’enregistrer son album phare, Play Blessures, métamorphose du style Bashung, ce dernier passe plusieurs mois au Studio 92 de Boulogne-Billancourt avec son groupe le KGDD. Parmi les titres qu’il improvise, l’un va subir un traitement radical et atterrir sur Play Blessures dans une version en allemand baptisée "Junge Männer".
Pour afficher ce contenu Youtube, vous devez accepter les cookies Publicité.
Ces cookies permettent à nos partenaires de vous proposer des publicités et des contenus personnalisés en fonction de votre navigation, de votre profil et de vos centres d'intérêt.
Ce texte, écrit entre deux prises par le polyglotte Boris Bergman, porté par la puissance vocale de Bashung existe aussi, dans une autre version, en français « bergmanien » dans le texte, et va mystérieusement rester au fond d’un tiroirs jusqu’à sa réapparition aujourd’hui. Voilà l’un des titres les mieux gardés de l’histoire de la chanson française, le bien nommé : « On n’a pas l’air »… on y entend des échos du ska de l’époque sur un sax enjoué, un harmonica blues.
Une découverte essentielle qui tient du miracle
Cette chanson est le maillon manquant pour illustrer la métamorphose de Bashung entre ses disques : Pizza et Play Blessures. Elle traduit la fidélité de Bashung à ses influences fondatrices, les guitares, la rythmique annoncent tel un prequel sonore, le prochain chapitre, dans le prolongement de la Cold Wave anglaise.
Pour afficher ce contenu Youtube, vous devez accepter les cookies Publicité.
Ces cookies permettent à nos partenaires de vous proposer des publicités et des contenus personnalisés en fonction de votre navigation, de votre profil et de vos centres d'intérêt.
"Oh Gaby", version live pour la rage et le son de la mélodie immortelle, un des chefs d’œuvre de Bashung, à l’aube des années 80. Un des chemins du parcours hors norme de cet artiste multiple, transgressif, aventureux à travers une quarantaine de titres qui ont marqué l’histoire de la chanson française et nos mémoires.
« On n'a pas l’air » fait partie du disque anthologique : Alain Bashung - L’album de sa vie , disponible le 8 mars.
L'équipe
- Production
- Réalisation