Parlez-vous cerveau ?

Pour ce dernier rendez-vous, parlons des grands lendemains, du futur de nos cerveaux

Le cerveau est un organe spécial. Le seul dont les maladies sont entre les mains, non pas d'une, mais de deux spécialités médicales

Lionel Naccache a envie aujourd'hui de nous parler du temps du cerveau.

Aujourd'hui, avec Lionel Naccache, nous allons vivre un moment de mise en abîme

Cette expression a vu le jour à la fin des années 80 sous la plume de Giacomo Rizzolatti de l'université de Parme.

Aujourd'hui, nous allons visiter le cerveau de la douleur. Au commencement de la douleur était le cortex cérébral.

Ce système conditionne une grande partie de nos comportements et même de nos pensées.

Une fois que l'on maîtrise une langue étrangère, elle peut parfois nous servir par ricochet à en parler une autre du fait de l'existence d'analogies entre elle.

Lionel Naccache nous invite à déambuler cette semaine dans la carte et le territoire cérébral de la conscience. Aujourd'hui, l'étape sans doute la plus stupéfiante.

Comment s’appelle dans la mythologie grecque la créature au corps d'homme et à tête de taureau ? Vous ne trouvez pas le mot immédiatement ? Vous l'avez sur le bout de la langue ?

Si vous êtes capable de vous rapporter à vous-même le moment que vous êtes en train de vivre, alors vous êtes conscient. Variation sur le "je pense, donc je suis" de Descartes

Quel est le film cérébral des milliers de prises de conscience que nous réalisons quotidiennement ?

Lionel Naccache nous a laissé à la fin de sa précédente chronique sur un "cliffhanger" digne des scénaristes de séries et autres auteurs de romans feuilletons du XIXè siècle.

Derrière ce nom hermétique se cache une structure nerveuse dont la fonction peut-être présentée de manière très simple. Cela est suffisamment rare pour mériter d'être rappeler.

Ce matin, il est question du code utilisé par les neurones pour communiquer entre eux et pour coder, précisément, les informations dont ils sont dépositaires.

Déjà fort d'un petit lexique du cerveau, il est temps de s'aventurer vers la traduction de courtes phrases rencontrées dans les manuels de neurosciences.

Notre cerveau dissone, à l'occasion. On parle alors de dissonance cognitive, expression forgée dès les années 50 par le psychologue Léon Festinger.

La mémoire épisodique, c'est la mémoire des épisodes de notre vie.

Comme nous l'avons vu précédemment, nous n'utilisons pas seulement 10 % de notre cerveau, mais bien 100%.

Aujourd'hui, Lionel Naccache va détruire le mythe cérébral le plus célèbre. celui selon lequel nous n'utiliserions qu'à peine 10% de notre cerveau.