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- En 2004, le réalisateur Éric Rohmer aborde à travers son film "Triple agent" le sujet de la reconstitution historique et la multiplicité des thèmes dans ses films.8 mars 2004 • 24 min
- Le cinéaste Éric Rohmer fait part de ses choix de mise en scène pour rendre ses films vraisemblables et insiste sur l'intérêt qu'il porte au montage.9 mars 2004 • 24 min
- Le cinéaste Éric Rohmer raconte comment il prépare ses films, comment il travaille avec les acteurs et aborde le thème de l'évolution de sa filmographie.10 mars 2004 • 24 min
- Le réalisateur Éric Rohmer s'exprime sur sa façon de cadrer ses comédiens puis évoque la modernité dans les arts et comment il se situe par rapport à celle-ci.11 mars 2004 • 21 min
- Le cinéaste Éric Rohmer se remémore la Nouvelle Vague, tire un bilan de sa carrière et constate dorénavant préférer regarder les films sur petit écran que dans une salle de cinéma.12 mars 2004 • 23 min
À propos de la série
À l'occasion de la sortie de son film "Triple agent" en 2004, le réalisateur Éric Rohmer revient sur des éléments clés de la réalisation. Il évoque aussi son rapport à la technique et l'art de poser la caméra, sa filmographie et ce qu'est, pour lui, la Nouvelle Vague.
Alors qu'il vient de dévoiler sa dernière production, Triple agent, Éric Rohmer, dans cette série en cinq volets, raconte les détails de la réalisation du film. Il aborde notamment les thèmes de la reconstitution historique et la politique, mais aussi le recours aux actualités filmées ainsi que le montage et enfin la continuité d'une œuvre, sa filmographie.
Éric Rohmer s'acharne aussi à démontrer la supériorité du cadre carré, ajoutant que cette configuration est particulièrement prisée des artistes de la Renaissance.
En fin d'entretien, le réalisateur effectue la rétrospective de l'ensemble de sa carrière. Il tire les conclusions et affirme être satisfait de celle-ci... dans l'ensemble. Il n'a plus "rien dans les tiroirs". En conclusion, le cinéaste fait cette confidence surprenante : "Je n'ai pas la superstition des profanateurs, de sacrilèges. Je n'ai pas tellement la superstition ou le culte de la salle de cinéma."